Monday, July 26, 2010

Télécharger le fichier PDF Spider-Man, Tome 7 : L'empire


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Spider-Man, Tome 7 : L'empire

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Spider-Man, Tome 7 : L'empire

Détails sur le produit

Album: 150 pages

Editeur : Panini Comics (10 octobre 2007)

Collection : 100% MARVEL

Langue : Français

ISBN-10: 2809400962

ISBN-13: 978-2809400960

Dimensions du produit:

26 x 1 x 17,5 cm

Moyenne des commentaires client :

2.9 étoiles sur 5

3 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

797.700 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

J'ai reçu une bd en très bon état. Le sujet abordé dans la bd ne m'a pas plu : Spider Man en décrépitude. ..

Ce tome comprend une histoire complète et indépendante de la continuité ; il suffit de connaître vaguement le personnage pour saisir toutes les ramifications. Il contient les 4 épisodes de la minisérie initialement parue en 2007.À new York, à une date indéterminée dans un futur proche, le maire a mis en place une police municipale peu commode qui fait régner un ordre brutal et pas très éloigné du totalitarisme. Cette milice a été surnommée "The Reign". Peter Parker a raccroché son costume et il vit de petits boulots, le dernier en date étant un emploi d'assistant fleuriste. À la télé, un présentateur appelé Miller Janson annonce que la mairie activera bientôt un dispositif de sécurité appelé Webb qui constitue une barrière défensive destinée à tenir éloignée les menaces terroristes. Parker regagne son appartement minable et se fait agresser dans la rue. Alors qu'il se remet dans son appartement, un homme tout droit surgi de son passé sonne à sa porte.Cette histoire a été écrite et dessinée par Kaare Andrews et mise en couleurs par Jose Villarrubia. Andrews explique très ouvertement qu'il s'est inspiré de The Dark Knight Returns (en abrégé DKR) de Frank Miller et Klaus Janson (d'où le patronyme du présentateur). Cette filiation est encore renforcée par la manière de dessiner les contours d'un visage d'un trait fin légèrement tremblé (similaire au rendu des visages dans DKR), ce qui leur confère à la fois un aspect apeuré et une netteté déconcertante. Le lecteur découvre donc son héros préféré qui a mis un terme à sa carrière en costume moulant et qui, ici, continue de promener sa poisse légendaire de prolétaire. Cette thématique s'inscrit dans la thématique des dernières histoires des superhéros regroupées sous l'appellation générique de "The end", comme celle des X-men (X-Men - La fin), de Hulk (Hulk - The end), du Silver Surfer (Requiem : Kyrie, Sanctus, Benedictus, Agnus Dei), ou même de l'univers Marvel (The end).Cette parenté avec DKR ne s'avère pas paralysante : Kaare Andrews montre dès la première page qu'il ne souhaite pas donner dans le polar urbain étouffant et anxiogène. Il insère avec élégance une référence aux contes de notre enfance qui permet tout de suite de différencier ce récit de DKR. Parmi les différences notables, il ne recourt qu'à une seule chaîne de télévision, sans multiplier les points de vue sociétaux. Et Peter Parker est dans un état de résignation sans commune mesure avec celui de Bruce Wayne. Enfin il ne se repose pas sur une violence exacerbée et les mises en page sont moins syncopées.Au fil des pages, il apparaît également que le travail de Jose Villarrubia ne peut pas être comparé à celui de Lynn Varley. Il prend une part beaucoup plus active dans le complément des illustrations, en renforçant en particulier les arrières plans par le biais de photographies retouchées et simplifiées. Ce dispositif donne une présence très affirmée à la ville, sans qu'elle n'en devienne étouffante. Il trouve ses limites dans le dernier épisode où Andrews semble lassé de dessiner les décors, et où Villarrubia a beau faire de son mieux, il ne parvient pas à masquer ce vide.Les illustrations génèrent une ambiance légèrement morbide dans la mesure où Andrews donne une silhouette d'une personne de 50 ans (voire 60) à Parker. Ce dernier est très loin de l'aspect massif de Batman, il est au contraire frêle et fragile et d'autant plus pathétique. Sans se vautrer dans le drame exacerbé, les graphismes d'Andrews montrent une humanité souffrante et vacillante. Pour la majeure partie du récit ce parti pris permet d'insister sur la réalité des menaces qui pèsent sur le héros, et sur les citoyens de New York. Il n'y a que pour le cas particulier de l'individu du passé de Parker que cette fragilité finit par desservir le récit car au vu des coups qu'il reçoit le lecteur ne peut pas croire à sa résistance.La première moitié du récit emmène le lecteur dans un monde inhospitalier, privé de libertés individuelles, dans lequel les héros (super ou non) n'ont pas le droit de cité. La pression quotidienne est assez proche de notre société urbaine et policée pour que le malaise soit palpable et plausible. Peter Parker a perdu ses repères et son goût à la vie. Le lecteur navigue à vue sans savoir quelle direction prendre le récit. À partir du troisième épisode, Kaare Andrews se rapproche plus d'un comics traditionnel avec supercriminel et combats physiques. Il a abandonné la métaphore avec les contes de fées en cours de route et le commentaire sociétal finit par être couvert par le bruit et la fureur. Andrews effectue une dernière tentative pour éviter de tomber dans ce travers en évoquant maladroitement La dernière chasse de Kraven, mais le mal est déjà fait et le dernier tombe retombe dans la routine, en légèrement plus sombre, mais tout juste.Avec un certain aplomb, Kaare Andrews affiche dès les premières pages son ambition de raconter la dernière histoire de Spider-Man à la manière du Dark Knight de Frank Miller. Le début s'inspire librement de l'ambiance du DKR (aussi bien pour les prémices du récit que pour l'aspect graphique), tout en trouvant son ton propre et ses thématiques particulières. Mais passée la première moitié intrigante et bien construite, Kaare Andrews semble perdre le fil de ses idées et se reposer de plus en plus sur les ficelles habituelles des histoires de superhéros. Il s'agit donc d'une bonne histoire de Spider-Man, mais pas d'un récit qui pourrait prétendre jouer dans la cour de DKR. Or Andrews n'arrive pas à choisir entre les 2, c'est-à -dire entre un récit adulte (l'ignoble destin de MJ) avec une composante pamphlétaire sur la société et un récit à destination d'un lectorat venu chercher quelques frissons rapides.

Cet album est un grand moment de lecture qui ravira tous les fans de Spider-man ou les amateurs de Bd un peu curieux qui ont tout de même une certaine familiarité avec l'univers du Tisseur.L'empire propose de voir évoluer un Peter Parker aux cheveux blancs, qui a raccroché son costume depuis une trentaine d'années, alors que son pays a sombré dans la dérive sécuritaire et que des milices assurent l'ordre dans les rues.Si le début de l'album m'a semblé un peu longuet, cela vient en partie du fait qu'il faut un temps pour s'adapter aux décors numériques qui contrastent pas mal avec les personnages, d'emblée attachants, mais c'est surtout une traduction/adaptation maladroite et paresseuse qui hache la fluidité du récit.Qu'il y ait des éléments venant de comptines pas forcément adaptables en français dans la première partie du bouquin, et encore je doute, le boulot de traducteur c'est ça aussi ("Hickory, dickory" ça m'évoque rien pour le coup...), c'est déjà une chose frustrante... Mais laisser des termes en anglais comme lorsque que le jeune qui se fait arrêter par deux agents dit son nom et que ça donne "bend over and take it", et que Peter se marre, le lecteur n'aura d'autre recours pour saisir de quoi il en retourne que d'aller fureter dans son dictionnaire.Par contre les tournures de français étranges ("Grattant ? Creusant ?") et les contre-sens (dire "Quand on voit les autres se battre, on se sent moins vigoureux et ça enlève l'envie d'en découdre" juste au moment où la foule imite Spidey et s'en prend aux agents, ça fait mal...) sont beaucoup moins excusables... Ca ne gâche pas la lecture non plus, loin de là , mais ça empêche l'album d'avoir cinq étoiles.Je préfère ne rien dévoiler de l'intrigue, si ce n'est que ça prend de l'ampleur au fur et à mesure, et que la dernière partie du livre est incroyable, énorme, très émouvante...Je n'ai jamais vibré comme ça face au costume rouge et bleu.J'avais lu le Dark Knight returns de Miller il y a quelques années, avec lequel la comparaison s'impose et j'avais été impressionné, ça oui, mais pas touché de la sorte.Un apogée à l'univers de Spider-man, qui en reprend tous les éléments marquants, les détourne et se les réapproprie pour créer un contexte sombre et désespérant à souhait.Une réussite.

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